Homélies/Méditation

Nativité – Famille – Epiphanie

MYSTERE DE NOEL

Ces trois fêtes que nous avons célébrées au cours de la période de Noël, ont été l’occasion pour l’abbé Willy d’aborder trois facettes de cet incroyable mystère de la Nativité, de ce Dieu devenu homme. Nous avons tenté de résumer ces trois méditations ci-dessous mais nous vous invitons vivement à consulter le texte original de l’abbé Willy en cliquant chaque fois sur l’image qui accompagne ces résumés.

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Nativité, la Bonne Nouvelle

La bonne nouvelle est que quelqu’un se tient au milieu de notre assemblée : le Sauveur, le Conseiller-merveilleux, Dieu-Fort, Père-à-jamais, Prince de la paix, le Verbe fait chair. Il est avec nous, le Christ, le oint du Seigneur, Jésus, le Seigneur sauve, l’Emmanuel, Dieu-parmi-nous. Il nous inspire à nous regrouper, à venir vivre ici une autre chaleur, celle de assemblée, notre Unité Pastorale. C’est lui qui nous donne cette joie de la rencontre, de prier et de chanter ensemble. C’est lui qui nous redit aujourd’hui, comme aux apôtres : Le Verbe s’est fait chair et il a habité parmi nous.
Risquons avec Jésus, de devenir plus humains et plus aimants. N’ayons pas peur de nous laisser toucher par le mystère de Noël. Aujourd’hui nos regards se tournent vers LUI, présent dans cette eucharistie, au cœur de notre assemblée, présent en nous.

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La Sainte Famille, l’accueil

Au risque de vous étonner, je vais vous dire aujourd’hui que toute messe est une messe de mariage. À chaque messe, un mariage a lieu : l’Alliance entre Dieu et l’humanité. L’église célèbre la fête de la Sainte Famille après Noël, soulignant que Dieu veut vivre en famille avec nous.
Joseph et Marie ont eu foi l’un en l’autre et en leur enfant, même s’ils ne comprenaient pas toujours le mystère qui les entourait. Jésus a également montré sa confiance envers ses parents. Il est crucial de croire en nos proches, même en période de difficulté.
Une sainte famille est celle qui accepte l’incompréhension et se soutient malgré les épreuves. L’amour et la foi sont primordiaux pour la rédemption et la paix dans le monde. Le monde a été sauvé, la Rédemption a pu se faire parce que pendant trente ans, dans une famille, on a cru les uns dans les autres et qu’on s’est aimé.Notre  monde, à son tour, ne trouvera  son salut, son  sens, que si, dans  nos familles, il y a assez de foi, assez d’amour, assez de présence de Dieu dans nos maisons.

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L’Épiphanie, Emmanuel

Quelques thèmes se prêtent à notre méditation en cette fête de l’Épiphanie:
– la foi des gens de Jérusalem est une foi figée, desséchée, stérile qui ne tolère pas qu’on change ses habitudes. Ils restent bien au chaud à Jérusalem pendant que les sages d’Orient reprennent la route vers Bethléem.
– Les mages ne sont pas des touristes. Ce sont des chercheurs de Dieu. Leur quête est un départ et un arrachement. Cette recherche les conduit à l’adoration
– Les mages ont offert leurs trésors à Jésus. Nos misères reconnues et assumées dans la foi peuvent être le plus beau don à l’Enfant Jésus. Nos biens et nos talents déposés à la crèche, eux, manifesteront la volonté de nous désapproprier de nous-mêmes et de nous ouvrir à l’action de Dieu.
Il arrive souvent dans nos vies un «signe» nous est donné, un signe qui nous provoque et nous interroge, un livre, un film, une maladie, un enfant qui naît…
En cette fête de l’Épiphanie, profitons de ces «signes» pour devenir, nous aussi, des chercheurs de Dieu.

Les images qui illustrent cet article sont extraites d’un triptyque peint par Bradi Barth, artiste gantoise originaire de Suisse.

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