Un samaritain fut saisi de compassion

«Mais un Samaritain, qui était en route, arriva près de lui ;
il le vit et fut saisi de compassion.
Il s’approcha, et pansa ses blessures
en y versant de l’huile et du vin ;
puis il le chargea sur sa propre monture,
le conduisit dans une auberge et prit soin de lui.»

Ce mercredi 13 mars nous avons fait étape devant la scène centrale de cette parabole, celle où un samaritain “fut saisi de compassion” et “s’approcha”. Qui est le samaritain, qui est le blessé, qu’est-ce que la compassion, que veut dire être saisi de compassion. Comment panser, que veut dire “charger sur sa propre monture”.

Nous étions à nouveau un douzaine pour écouter ce que les uns et les autres ont perçu dans cette scène et exprimer notre perception. Pas de discussion, personne à convaincre mais chacun peut prendre les richesse que les autres proposent.

Mercredi prochain, dernière étape, nous nous retrouverons à l’auberge pour entendre le samaritain dire “Prends soin de lui.” La parabole aurait pu s’arrêter à l’arrivée du samaritain compatissant. Pourquoi cette fin ? encore une soirée qui s’annonce riche.

Mais entretemps, dimanche 17 mars, dimanche de “Matinée de la Foi, au sein des groupes de partage des adultes, nous auront l’occasion de revisiter l’ensemble de la parabole en nous écoutant les uns les autres. Voila une matinée qui, bien occupée, nous paraitra certainement trop courte.

N’hésitez pas à venir nous rejoindre. Cela commence par un excellent petit-déjeuner à partir de 8h30 à Saint-Marc .

“Vous tous qui avez soif, venez, voici de l’eau ! Même si vous n’avez pas d’argent, venez acheter et consommer, venez acheter du vin et du lait sans argent, sans rien payer. Pourquoi dépenser votre argent pour ce qui ne nourrit pas, vous fatiguer pour ce qui ne rassasie pas ? Écoutez-moi bien, et vous mangerez de bonnes choses, vous vous régalerez de viandes savoureuses !”

Isaïe 55, 1-2