Ce que vous avez fait …
… c’est à moi que vous l’avez fait.
Les fêtes de fin d’année furent aussi une occasion de penser et d’accompagner nos aînés et ainsi rompre la grisaille de leurs vies parfois solitaires. Dominique a ainsi été accompagnée de jeunes ados pour assister à la messe de Noël dans une maison de repos et distribuer des petites attentions. Les sourires qui ont éclairé les visages valent tous les mercis du monde.
Le 11 février sera la “journée mondiale du malade” et à cette occasion le pape François a déjà publié un message aux soignants et aux malades dont nous extrayons les quelques phrases ci-dessous. Pour consulter l’intégralité de ce message cliquer sur le bouton ci-dessous.
Frères et sœurs, le premier soin dont nous avons besoin dans la maladie est une proximité pleine de compassion et de tendresse. Prendre soin de la personne malade signifie donc avant tout prendre soin de ses relations, de toutes ses relations : avec Dieu, avec les autres – famille, amis, personnel soignant –, avec la création, avec soi-même. Est-ce possible ? Oui, c’est possible et nous sommes tous appelés à nous engager pour que cela devienne réalité.
À vous qui vivez la maladie, (…) je voudrais dire : n’ayez pas honte de votre désir de proximité et de tendresse ! Ne le cachez pas et ne pensez jamais que vous êtes un fardeau pour les autres. La condition des malades nous invite tous à freiner les rythmes exaspérés dans lesquels nous sommes plongés et à nous redécouvrir.
Prenons soin de ceux qui souffrent et qui sont seuls, peut-être marginalisés et rejetés. (…) Et ainsi, coopérons pour contrer la culture de l’individualisme, de l’indifférence, du rejet, et pour faire grandir la culture de la tendresse et de la compassion.
Les malades, les fragiles, les pauvres sont au cœur de l’Église et doivent aussi être au centre de nos attentions humaines et de nos sollicitudes pastorales. Ne l’oublions pas !